- Ouvre le sac, sors les sangles ! Retire ton slip et allonge-toi sur le dos. Je retiens quasiment depuis le départ de chez moi une énorme envie de pipi, je n’en peux plus. Je me positionne debout jambes de part et d’autre du visage de Boris, j’écarte à peine ma culotte sous ma jupe pour que l’on ne voit pas mon sexe (si les deux cochons qui nous ont suivis pensent encore que je suis une femme, autant maintenir l’illusion), et je me laisse aller.
- Ouvre la bouche salope ! Et je pisse. Depuis le temps que je retenais mon envie, j’en fais des litres. Boris essaie de tout boire la bouche grande ouverte sous moi, mais il ne suit pas le débit. Je m’attache à bien viser sa bouche.
Je jette un coup d’oeil aux deux mecs, le plus jeune à déjà sorti sa queue et se branle, le vieux a une main qui s’active… dans… son jogging. Et je pisse, je pisse, je pisse, ça n’en finit pas.
- Bois tout pauvre lope, tu gâches le champagne de ta maîtresse ! Dis-je en cravachant maintenant les couilles offertes de Boris. Sa résistance étant parfois frustrante pour moi, je frappe fort. Il se tortille enfin de douleur, sans jamais chercher à protéger ses couilles (je lui ait interdit de tenter ce genre de chose) - Avale pauvre larve, montre à tous quelle sous lope tu es ! Et je continue de vider ma vessie dans sa bouche, et il continue d’essayer d’avaler tout ce qu’il peut. Ne pouvant tenir ma queue si je veux conserver une illusion féminine, je vise tant bien que mal, Boris est tout de même couvert de mon urine de la tête au torse. Le débit s’amenuise, ce sont maintenant de petites gouttes qui finissent de perler, il n’en rate quasiment aucune.
Quand je relève la tête, ce ne sont plus deux, mais 5 mecs qui matent le spectacle. Les trois nouveaux ont la quarantaine et deux d’entre eux ont déjà la bite à l’air à se branler. Il est temps de passer aux choses sérieuses.
- Sors les sangles et le fouet ! Je demande à Boris d’attacher les sangles aux deux arbres adjacents, pendant ce temps, je joue avec le fouet et léchant le bout du manche telle une queue en regardant les spectateurs. Ils n’ont d’yeux que pour moi. Je jubile (quelle petite pute...oui je sais, mais j’adore ça). Les mains tripotent les queues, ça commence à bien bander chez certains, je suis fière de ma mise en scène.
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